Enfin voilà le jour de la course qui s'est déroulée sous un très beau soleil avec une température entre 5 et 10°C, donc très agréable pour courir.
Bruno en raison d'un entrainement un peu erratique, lié à son activité, a couru le 10 km mais a réalisé un bon temps de 49' (non officiel).
Jérome, Bastien & Pierre ont couru le 1/2 marathon qui pour Bastien s'intégre dans le plan de préparation du Marathon de Paris et pour Pierre dans le plan de préparation pour le Marathon de
Madrid.
Les performances :
Jérôme |
1h40 |
Bastien |
1h49 |
Pierre |
1h38 |
La course de Jérome a été particulièrement remarquable car il n'a pas été épargnée par les soucis ces dernières semaines ; une bonne perf sur le Marathon d'Albi se profilerait-elle ?
Bastien et Pierre ont respecté les consignes du plan d'entrainement (Zatopek 2.0) et ont même été un peu plus vite que prévu.
Quelques photos de cette sortie (vous pourrez trouver le complèment dans l'album 1/2 Blagnac) :
Il ne faisait quand même pas hyper chaud vers 8h30 (nous êtions là pour le départ de Bruno sur le 10 km)
Quelques consignes (!) avant le départ ....
Réglages des GPS/Polar sur le parking....
Bastien & Pierre ont mis leur nouvelle tenue que l'on peut apprécier de face mais surtout de dos...
Au dire des participants cette tenue est particulièrement adapté et n'est pas étrangère à certaines performances réalisées ce dimanche (!)
L'arrivée de Bruno (face et dos pour le logo bien sur)
Bruno à l'arrivée du 10km, un peu marqué mais pas trop...
Une image du peloton élite que l'on n'a pas souvent l'occasion de voir ; vu comme ça ils ont l'air "prenable" mais bon on n'a pas réussi cette fois encore, il faut continuer à s'entrainer
dur.
Et Jérome à l'arrivée, frais comme un gardon et content de son temps (bon il aurait bien aimé faire moins de 1h40 mais bon au vu de ses dernières sensations, c'est très bien)
Bastien dans la dernière ligne droite en termine aisément et confiant dans ses capacités à gérer le marathon
Un marathon cela se prépare sérieusement, intensément… Mais il faut aussi savoir se préserver si on ne veut pas, le jour de la course, finir du côté des spectateurs. Voici quelques règles toutes simples, à ne jamais oublier, pour bien se préparer sans se blesser. Piqûre de rappel.
Lâcher du lest
Un coureur pas assez entraîné sera toujours en meilleure forme le jour de la course qu’un coureur surentraîné et blessé. La mesure est bonne conseillère en la matière. De la même façon, n’augmentez pas trop rapidement l’intensité de votre entraînement, le corps a besoin de temps pour s’habituer à chaque effort supplémentaire. Une progression constante sera, par ailleurs, bien plus profitable sur le long terme qu’une augmentation brutale du nombre de kilomètres et/ou de sorties dans la semaine.
Se reposer
S’accorder des jours off, c’est absolument nécessaire. Si, vraiment, cela vous paraît impossible de ne pas courir ne serait-ce qu’une journée, alors prévoyez une fois par semaine une séance allégée. Mais levez le pied de temps en temps si vous voulez éviter les blessures.
Récupérer
C’est important ! Finissez toujours vos entraînements par une courte période de retour au calme. Les dix dernières minutes, diminuez progressivement le tempo de votre foulée ou marchez. Ce retour au calme est aussi important que l’échauffement, ne le négligez pas.
Refroidir
Pour limiter les douleurs après un entraînement intense, pensez à prendre un bain tiède (moitié eau froide, moitié eau chaude). En favorisant ainsi la circulation sanguine, vous aidez l’organisme à récupérer plus vite. Si vous avez une douleur à un endroit précis, appliquez du froid (des glaçons ou un patch). Si vraiment la douleur persiste, n’hésitez pas à consulter un médecin.
S’étirer
Beaucoup de coureurs le font en fin de course, mais pas suffisamment ni complètement. Car deux trois étirements des mollets ne suffisent pas. Il faut donc s’étirer plus longuement (10 bonnes
minutes) et toutes les parties du corps. Attention toutefois aux mouvements trop brutaux ou trop saccadés qui pourraient faire plus de mal que de bien. Dans le doute, les conseils d’un coach
sont les bienvenus : demandez l’avis d’un professionnel plutôt que d’augmenter vous-même les risques de blessures.
(extrait du site du magazine Runners)